
L'air du dj digital a bouleversé toute l'économie du disque et signé l'arrêt de mort du vinyle ( pour certains styles de musique en tout cas , allez mixer de la techno, du dubstep ou de la d'n'b sur cd...).
Ainsi la plupart des dj house/club/electro/trance se fournissent directement sur des plateforme de download , légales ou illégales.
Intéressons nous à l'aspect distribution numérique légale.

Combien (vendent)gagnent les top chart beatport et autres, font ils vraiment des affaires avec le digital?
D'ailleurs , pourquoi les chiffres de vente dans le secteur digital sont ils aussi opaques? alors qu'a l'époque du disque les gens affichaient avec fierté le nombre de disques écoulés?
Quels sont les pourcentages de redistribution?
La vie est elle vraiment meilleurs pour les artistes qu'a l'époque du vinyle?
Quid des éditeurs qui "gère" parfois plus de 300/400 producteurs?
qui touche réellement le gros lot?
quel est l'intérêt du label aujourd'hui, si son rôle se limite à l'édition sur ses mêmes plateformes?
Un rapport direct artiste distributeur n'est il pas souhaitable?
Devant l'explosion des releases digitales, dont beaucoup ne se vendent même pas, on peut se poser la question suivante : à qui profite ce modèle économique?
quels sont les stratégies à mettre en œuvre pour assurer le succès d'un titre?(et ne me parlez pas de qualité artistique). Quel durée de vie pour un track digitale?
une release digitale n'est elle pas trop cher(2$ en moyenne)?
voila , labels , producteurs et "consommateurs" , à vos claviers.



